7 juillet 2025

Opinion : Pour bâtir une nation, il faut garder la nature en tête

Voici un extrait d’une chronique d’opinion écrite par Matt DeCourcey, Directeur des affaires gouvernementales chez Sentier Transcanadien, et publiée dans le Canada’s National Observer.  

Lorsque nous parlons « d’intérêt national », nous avons tendance à penser à l’acier, et non au sol. Les pylônes électriques, les ports en eaux profondes et les corridors d’exportations sont des symboles d’une nation qui va de l’avant. Ça se comprend. Les grands projets ont toujours eu du poids dans ce pays : le chemin ferroviaire, la voie navigable du Saint-Laurent, l’autoroute transcanadienne. 

Aujourd’hui, avec l’adoption du projet de loi C-5, la Loi sur l’unité de l’économie canadienne, le Canada est, à nouveau, prêt pour de grands projets. La loi accorde de nouveaux pouvoirs aux ministères pour accélérer la mise en œuvre de projets jugés d’intérêt national. Le premier ministre Mark Carney fait valoir le projet comme une façon de « connecter et transformer notre pays et libérer une croissance économique, tout en respectant les protections environnementales et les droits autochtones. » 

Ces objectifs sont urgents et importants. Mais le défi réside dans la définition « d’intérêt national ». Des projets qui ne tiennent pas compte des fondements écologiques desquels nous dépendons pourraient nuire à leurs objectifs de prospérité et de résilience. Pour que ces projets prioritaires soient à leur plein potentiel, la nature ne doit pas être vue comme un obstacle, mais comme le fondement de tout effort à bâtir notre nation. 

Pour lire l’intégralité de la chronique, visitez le site Web du Canada’s National Observer (en anglais seulement, abonnement requis). 

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