3 juin, 2014

La nouvelle aventure sur le Sentier de Dana Meise dans le Nord acharné du Canada

Dana Meise au Lac Lesser Slave en Alberta du Nord, le 6 mai 2014

Le 29 avril 2014
Après minuit
Sur le sentier Transcanadien, quelque part entre Fort Saskatchewan (Alberta) et Inuvik (Territoires du Nord-Ouest)

« Je suis certain que c’était un ours, et qu’il était très proche… veuillez lire la suite… »

Les amis et la famille de Dana Meise, et les personnes qui le suivent sur Facebook, sont certainement prêts à lire la suite, parfois complètement médusés par des histoires comme celle-ci, que Dana a partagée sur Facebook en avril.

Dana n’est pas près de manquer d’histoires captivantes à raconter sur son périple de Fort Saskatchewan (Alberta) à Inuvik (Territoires du Nord-Ouest), qui constitue la dernière étape de sa traversée du Canada.

En août 2014, Dana aura franchi un total de 24 000 kilomètres de paysages époustouflants sur le STC, de la côte de l’Atlantique à celles du Pacifique et de l’Arctique.

Randonneur intrépide, fervent Canadien et ambassadeur du sentier Transcanadien, Dana Meise est revenu à la maison à Prince George (Colombie-Britannique), en décembre 2013, après avoir parcouru 16 000 kilomètres sur la portion sud du Sentier, de Cape Spear (Terre-Neuve) à Clover Point (Colombie-Britannique). Cette aventure de 6 ans a permis à Dana de fouler le sol de presque 1 000 collectivités canadiennes, au prix de 26 millions de pas.

Depuis qu’il est parti à la mi-avril 2014, avec comme objectif de couvrir les derniers 8 000 kilomètres sur la portion nord du sentier Transcanadien, il a troué sa tente, brisé son porte-bagages, confronté un ours et joué avec des chiens sauvages très amicaux. Il a rencontré des Canadiens aussi intéressants que généreux qui, dans de nombreux cas, l’attendaient après avoir appris son arrivée imminente dans leur ville, prêts à lui offrir un repas chaud, un abri, une douche et une poignée de main chaleureuse.

Même si des Canadiens amicaux sont prêts à l’accueillir dans le nord du pays, Dana doit quand même composer avec la nordicité et la météo, qui ont d’autres types d’offrandes pour lui. Des sentiers inondés, des fissures pleines de boue et des bancs de glace géants formaient le paysage qui a accueilli Dana au cours de ses premières journées dans le Nord. Il conserve néanmoins une bonne humeur à toute épreuve et la perspective positive qui le caractérisent : « Je suis fourbu, mais je sais qu’à l’aide d’un simple pas, puis d’un autre, je peux me rendre là où je le désire. »

Nous allons continuer à suivre le parcours de Dana sur le sentier Transcanadien, et à le partager sur Facebook et Twitter. Restez à l’écoute!

Merci